Des paroles d’encouragement
Peu de temps après la mort de son père, C. S. Lewis, alors âgé de 30 ans, a reçu une lettre d’une femme qui avait pris soin de la mère de celui‑ci durant sa maladie l’ayant conduite à sa mort plus de deux décennies auparavant. La femme lui offrait ses condoléances et se demandait s’il se souvenait d’elle. Il lui a alors répondu : « Chère infirmière Davison, si je me souviens de vous ? Et comment ! »
Au‑delà du temps
Au cours de 2016, des troupes de théâtre en Grande-Bretagne et partout dans le monde ont mis en scène des productions spéciales pour souligner le 400e anniversaire de la mort de William Shakespeare. Des concerts, des conférences et des festivals ont attiré des foules désireuses de célébrer l’oeuvre impérissable de l’homme que l’on considère en général comme le plus grand des dramaturges de langue anglaise. Ben Jonson, l’un des contemporains de Shakespeare, a écrit à son sujet : « Il n’appartenait pas à son époque, mais à tous les temps. »
Une bonne imitation
Aujourd’hui, nous allons jouer à un jeu appelé Imitation », a annoncé notre pasteur des enfants aux tout‑petits rassemblés autour de lui. « Je vais nommer quelque chose et vous allez l’imiter. Prêts ? Poulet ! » Les enfants se sont alors fait aller les bras, en caquetant et en croassant. Puis il y a eu l’éléphant, le footballeur et la ballerine, en terminant par Jésus. Même si de nombreux enfants ont hésité, un tout‑petit de six ans a néanmoins immédiatement jeté les bras grands ouverts avec le sourire fendu jusqu’aux oreilles. Toute l’assemblée l’a applaudi.
Ensemble
Faisant la queue pour profiter d’une attraction à Disneyland, j’ai remarqué que la plupart des gens parlaient et souriaient au lieu de se plaindre de la longue file d’attente. Du coup, je me suis demandé ce qui leur rendait cette attente agréable. Il semble que cela ait été attribuable au fait que très peu de gens s’y soient trouvés seuls. Ils partageaient l’expérience entre amis, proches, membres d’un même groupe et en couple, ce qui était très différent de faire la queue tout seul.
Le façonnement de vos pensées
Lorsqu’en 1964 Marshall McLuhan a forgé l’expression « le média est le message », l’informatique n’existait pas encore, les téléphones cellulaires relevaient de la science-fiction et l’Internet n’avait pas encore été inventé. De nos jours, nous comprenons combien il s’est montré visionnaire en prédisant les moyens qui influenceraient notre pensée à l’ère numérique. Dans son livre intitulé The Shallows: What the Internet Is Doing to Our Brains (Les futilités : ce qu’Internet fait à notre cerveau), Nicolas Carr écrit : « [Les médias] procurent la matière première des pensées, mais ils façonnent également le processus de réflexion. Et la toile semble éroder mes facultés de concentration et de contemplation. Que je sois en ligne ou non, mon esprit s’attend maintenant à saisir l’information comme la toile la distribue : dans un flux de particules se déplaçant rapidement. »
Au‑delà de l’imaginable
Savez-vous quels sont les cinq meilleurs jouets de tous les temps ? Jonathan H. Liu a suggéré ceux‑ci : un bâton, une boîte, une ficelle, un tube de carton et de la terre (la chronique « GeekDad » de wired.com). Tous sont faciles à se procurer et universels, conviennent aux gens de tous âges et à tous les budgets, et servent bien l’imagination. Aucune pile requise.
Le prix d’entrée
Chaque année, quelque deux millions de personnes visitent la cathédrale Saint‑Paul de Londres. Cette visite en vaut largement le prix d’entrée pour voir la magnifique structure que Sir Christopher Wren a conçue et érigée vers la fin du XVIIe siècle. Le tourisme vient cependant au second rang dans ce lieu d’adoration chrétienne. La cathédrale a pour mission première de « permettre aux gens dans toute leur diversité de faire l’expérience de la présence transformatrice de Dieu en Jésus‑Christ ». Si vous désirez visiter l’édifice et en admirer l’architecture, vous devez payer un prix d’entrée. Par contre, pour assister à l’un des cultes d’adoration quotidiens, l’entrée à Saint‑Paul est gratuite.
Faire du surplace
L’ordre militaire « Surplace, marche » signifie qu’il faut marcher sur place sans avancer. Il s’agit d’une pause active en mouvement avant tout en restant mentalement prêt à recevoir l’ordre suivant, en l’attendant avec expectative.
Que devrais‑je savoir ?
Lors d’un concert, un auditeur a demandé au parolier et interprète David Wilcox comment il composait ses chansons. Il a dit qu’il y avait trois dimensions à ce processus : un lieu calme, une page vierge et la question : « Que devrais‑je savoir ? » J’ai alors été frappé de constater combien c’était une façon merveilleuse pour les disciples de Jésus de chercher à connaître jour après jour le plan de Dieu pour leur vie.
Des rappels importants
L’anthropologue Anthony Graesch dit que l’extérieur d’un frigo révèle ce qui importe aux gens. Au cours d’une étude portant sur les familles de Los Angeles, Graesch et ses collègues ont noté qu’en moyenne 52 éléments étaient affichés sur le frigo des sondés – y compris des horaires scolaires, des photos de famille, des dessins d’enfant et des aimants inspirants. Graesch appelle le frigo « une carte de mémoire familiale ».